• Après une grossesse épuisante tant physiquement que psychologiquement, un petit nouveau a rejoint notre famille.
    Dans un article précédent (lire ici), je vous faisais part de certaines angoisses.

    Alors, à qui ressemble ce petit bout de chou ?
    - 40 % à son frère,
    - 30 % à moi,
    - 20 % à sa sœur,
    - Et enfin, 10 % à son père

    J’espère qu’il aura au moins le caractère de son père, affaire à suivre.

    L’accouchement et la péridurale
    C’est simple, je suis tombée sur une super équipe et j’ai vécu un super accouchement sans douleur.
    Pour les deux premiers, j’ai eu droit à un travail digne d’un film :
    « Poussez ! Poussez ! Encore, oui, c’est ça. Stop ! On bloque, maintenant respirez, reposez-vous jusqu’à la prochaine contraction, respirez. Allez, on pousse, on pousse !!! »
    Avec le doux et tendre papa qui passe du vert au violet toutes les trois secondes, fou d’amour pour sa femme et heureux :
    - Tu es la plus forte, je t’aime tant…
    - Ho ! Mais tais-toi, je ne te supporte plus !!! J’ai mal, j’en ai marre !!! Ne me touche pas !!!
    Beaucoup de personnes ont dû voir le même film, je sens quelques sourires au moment de cette lecture.

    Pour celui-ci, rien à voir :
    - Je sens le bébé, je pousse ?
    - Non, attendez.
    - Oui mais il est vraiment là.
    - Il va venir tout seul.
    - Je pousse quand ?
    - Pas maintenant.
    - Ah.
    - Allez, poussez. Voilà, c’est bon.
    - J’arrête ? Je recommence à la prochaine contraction ?
    - Non.
    En tout et pour tout, je n’ai forcé que trois fois. Le petit est descendu tout seul et franchement, je ne regrette pas du tout.
    Je peux dire que j’ai eu un enfantement plus que parfait.

     

    Sinon, autre délire bien sympa.

    La petite et le pot.
    Depuis le mois de mars, nous avons tout fait pour que la petite de deux ans devienne propre. Impossible, je l’ai tellement saoulé avec ça que je l’avais limite traumatisée. Elle ne voulait plus qu’on lui enlève sa couche sale.
    Au bout, d’un moment et en parlant avec les femmes de la crèche, nous en étions arrivé à la conclusion qu’elle avait encore un an pour devenir propre et qu’il fallait la laisser y venir en douceur.
    Un jour, alors que je changeais son petit frère, je lui ai proposé de venir voir comment je faisais.
    Elle a totalement bloqué sur le « cucul » sale de son frère. J’en ai profité pour lui dire que c’était comme ça aussi pour elle et que c’était pour cela qu’il fallait qu’elle fasse dans le pot.
    Je ne sais pas si elle a eu un déclic en voyant « l’horreur ».
    Je ne le saurai jamais mais depuis ce jour-là, ma puce ne fait plus dans sa couche.

    Question boulot
    Quelques petits défauts au niveau logistique dus à la fatigue et au manque de temps mais je rassure tout le monde, je compte la fin en jours et non plus en semaines.

     

    Pour finir, je veux un quatrième bébé… Et en plus, j’ai quasiment perdu mon ventre.

    Alors, bonne rentée à tous et toutes et en avant.

    Je suis une star mais personne ne le sait...

     

     


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  • Chers lecteurs,

     

    Comme vous le savez, je publie en moyenne une fois par semaine, aujourd’hui je vais vous parler du processus avant la publication du mercredi.

    Il faut savoir aussi que je n’ai pas de limite, je prends mon inspiration un peu partout, en fonction de mes humeurs, de mes envies.

     

    Tout commence juste après avoir publié mon article.

    Une fois le texte mis en ligne, ma première pensée est : « Ça c’est fait, quel sera le thème de la semaine prochaine ? »

    Après cette question, je me vide totalement le cerveau.

    Je regarde les mouches voler.

    Appelle des amis ou ma sœur ou mon autre sœur.

    Il m’arrive même de revoir pour la trentième fois le même film.

    Une fois que je ne pense plus à rien, je relance ma mécanique intellectuelle : mon cerveau.

    Le problème est que quand je le mets sur pose, il a tendance à bouder mais en général, cela ne dure pas longtemps.

    Mon esprit en éveil, je ne cherche pas mais j’attends que la source vienne à moi.

    Quand je sens qu’une idée arrive, je la note dans mon cahier et vois si j’arrive à la développer.

    Si j’enchaine un paragraphe d’un coup et que tout fil comme il faut, je la garde.

    Si je n’avance pas dessus, je la note et passe à autre chose avec toujours le même protocole :

    Vidange du cerveau, attente du néant et re-mode réflexion…

    En général, cela dure cinq jours.

    La veille de la publication, mon texte est brouillonné dans mon cahier et le lendemain c’est le jour de l’écriture.

     

    Ça commence le matin.

    Je me lève et je te bouscule,

    Tu ne te réveilles pas.

    Comme d’habitude.

    - Ouhou, cerveau chéri, je suis là…

    - Oups, une chanson entendue la veille. On reprend.

     

     

    Alors, ça commence le matin.

    Je me lève et me gratte … la tête, je descends boire mon café.

    La maison est vide et une drôle de discussion s’entame entre mon cerveau et moi.

    Nous faisons un débrief des thèmes évoqués dans la semaine.

    Cela dure une bonne heure qui finit souvent en chamaillerie parce que ma chère tête ne veut en faire qu’à elle-même et tout diriger.

    C’est le temps pour moi de prendre ma douche, histoire de calmer mon esprit.

    C’est le moment aussi où nous déterminons le sujet final.

    Donc après cette douche, c’est l’écriture.

    Attention, il faut qu’on soit synchro.

    Ben oui, je ne peux boire un autre café pendant qu’il me dicte le texte et lui ne peut pas fredonner une chanson pendant que j’écris, vous avez vu ce que ca donne plus haut avec Cloclo.

     

    En gros, de l’inspiration à l’écriture c’est à peu près comme ça que ça se passe. Il m’arrive aussi de changer à la dernière minute tout mon texte soit parce que celui que j’entame ne me plait plus, soit j’entends ou pense à autre chose qui me semble plus en adéquation avec le moment.

     

    Vous savez tout.

    L’important c’est d’aimer ce que l’on fait, d’y croire et plus que tout laisser son esprit divaguer.

     

    Cet article participe à l’événement inter-blogueurs :

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    organisé par Mia de Trucs de Blogueuse.

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    2 commentaires
  • - Tu vas encore nous parler de ta super grossesse ?
    - Ça te pose un problème, je n’ai pas le droit ?
    - Si, si… Mais bon tu sais pertinemment que certaines personnes ne sont pas prêtes à entendre voire  comprendre ce que tu rabâches depuis neuf mois.
    - Huit mois et trois semaines plus exactement et il me semble n’avoir écrit qu’un seul billet à ce sujet.
    - Effectivement, mais étant jour et nuit dans ta tête, j’ai l’impression que tu en parles tous les jours. Allez ! Dis tout, je suis avec toi ma petite Brioche, balances au monde entier ce que tu as envie de dire sur ta superbe aventure de femme enceinte.
    - Rooohhhh, qu’est-ce que tu m’agaces quand tu es comme ça. Tu as de la chance que j’ai besoin de toi.
    - Avoue que tu m’aimes aussi ?
    - Un peu, c’est tout.
    - Juste un peu.
    - Arrête ! Je n’arrive pas à me concentrer pour écrire. Tu le sais que je t’adore mais je n’ai pas envie de le dire devant tout le monde.
    - Si ! Sinon je te bloque les connexions et tu ne pourras pas écrire.
    - Ah ouais, Et le dernier album de Cœur de Pirate en boucle et à fond la caisse comme réponse à ton chantage, ça te va ?
    - Tu as gagné, j’abdique. Je suis tout ouïe.
    - Ah ! Ah !

    Ça va être rapide puisque « l’autre » a pris presque la moitié de ma feuille A4.
    - Je t’entends…
    - Cœur de Pirate…
    - I’m damned.

    Alors voici une liste de dix phrases que l’on m’a dites ou entendues dire sur les femmes enceintes qui souffrent pendant neuf mois :

    • Être enceinte, ce n’est pas une maladie.
    • En même temps neuf mois, ce n’est pas long.
    • Tu devrais être heureuse, tu attends un enfant. C’est beau non ?
    • Je ne te comprends pas, il y a pleins de femmes qui le vivent bien.
    • Alors, ce sera le dernier.
    • Tu es fatiguée de quoi ? de ne rien foutre ?
    • Tu n’avais qu’à pas écarter les jambes.
    • Si tu n’es pas contente, t’as encore le temps d’avorter.
    • Effectivement, la grossesse ne te réussit pas tu as vu comme tu as grossi, as une sale mine…
    • Oulala, j’espère que tu ne vas pas rester comme ça.

     

    Bon ben voila, j’ai fini. Ah non, la dernière :

    • Mais qu’est-ce que t’es chiante enceinte !

    Bon, logiquement mercredi prochain, j’aurai déjà accouché depuis un ou deux jours.

     

    Ben quoi, c'est pas une maladie.

    Je lance officiellement le concours de la plus méchante réflexion faite à une femme enceinte.
    A vos claviers.

     


    1 commentaire
  • Une nouvelle « religion » vient de rentrer dans la liste des mouvements estimés comme sectaires.
    Cette secte nommée communément « Le Bescherellisme ».
    Qu’est-ce que c’est exactement ?
    Pas facile pour moi puisque des fautes d’orthographe j’en fais des grosses comme des toutes petites.


    Et puis j’ai lu un fait divers dans le Gorafi :

    Hier, un homme a été tué par sa compagne.Histoire plus que particulière puisque, Nadège, sa compagne diplômée en lettre aurait battu à mort son conjoint, Bruno, avec un nain de jardin.

    La raison en est simple, elle en avait assez de le reprendre sur ses fautes de français. Sans remords, celle-ci explique lors de sa garde à vue qu’en sortant de la maison Bruno lui aurai dit « Je vais au coiffeur dans la voiture à ma mère » et ce fut la phrase de trop : « Ce n’est quand même pas compliqué d’utiliser un génitif complément de nom exprimant la possession ».

    Lire l'article complet du Gorafi ICI 

     

    Je me suis dit : « il faut que j’en sache plus sur ce mouvement »
    Il fallait infiltrer ce groupe. Pour cela, je me suis mise en condition, pendant trois mois. J’ai lu comme une bible, le Bescherelle et pour compagnon de vie, j’avais un Bled.
    Plus je m’enfermais dans mes lectures et mes exercices, plus les nuls en orthographe me dégoutaient…
    Heureusement que le grand chef dixit mon cerveau me rappelait que c’était pour le taff et que je n’avais rien à voir avec les bescherelliens.
    C’était dur à vivre puisque je me coupais un peu plus du monde mais bon comme le vieux de la vieille, j’avais pas mal roulé ma bosse et des enquêtes sous couverture ça me connaissait.



    Chaque semaine, j’avais un rendez-vous avec Le Cerveau pour savoir si j’étais prête.
    Après trois mois de dictées intensives, ce fut bon pour moi.

    J’ai commencé à discuter avec eux sur le net, vous savez ceux qui traquent la faute sur facebook. Petit à petit, ils m’ont prise pour l’une des leurs.
    Jusqu’au jour où je reçu ce message : « Nous nous réunissons chaque semaine au Temple, pour prier notre Grand Dieu Bescherelle, tu viens avec nous ? ».

    Deux jours plus tard, me voila dans une salle toute petite et sombre.
    Croyez-moi si vous le voulez, mais j’avais peur… Ils me faisaient tous flipper, Ils avaient tous un Bescherelle ouvert sur la tête, des stylos rouges étaient disposaient comme des cierges un peu partout dans la salle, dans le fond, il y avait une femme avec un stylo quatre couleurs dans le cul qui recopiait avec une craie la même phrase sur un tableau noir.
    L’homme près de moi me dit : « on l’a surprise en train de fauter sur facebook ».

     

    D’un coup, sorti de nulle part, ma maitresse de CP, Madame Fionduc.
    - Ah mais il y a une nouvelle.
    - Bonjour
    - Il me semble vous connaitre ?
    - Oui, je suis Brioche.

    - Contente de voir que tu es enfin rentrée dans le troupeau. Mes coups de règles ont eu raison de toi. Il en a fallut du temps. Installe-toi avec les autres, nous allons commencer.

    Tous levèrent les mains vers le grand livre et psalmodièrent pendant une heure, jusqu’à rentrer en transe.

    « La faute c’est tabou, on en viendra tous à bout »

    J’hallucinais totalement, certains ont commencé à se rouler par terre tout en récitant l’alphabet, d’autres se mirent à rire les yeux exorbités en criant « on amène la vache au taureau et on va chez le coiffeur ».
    Madame Fionduc avec son air sadique que je connaissais bien, Arrêta d’un geste tout le monde.
    Silence de mort à vous glacer le sang...
     Elle se dirigea vers la pauvre femme punie et lui assena des coups de règle sur les doigts.
    « Pardon ! Pardon ! Je ne recommencerai plus ! Pardonnez-moi ! Je vous en supplie ! »
    Les adeptes se mirent à crier d’une seule voix : « Bonnet d’âne ! Bonnet d’âne ! »
    Deux personnes arrivèrent tenant en laisse un monstre horrible, il avait des dents énormes.
    La foule devint hystérique : En fait, Bonnet D’Âne était cet affreux monstre.
    Et là, s’en suit une orgie d’horreur. 

      

    Je ne peux pas vous raconter la suite, ce n’est pas possible, je choquerai trop de monde.
    Moi, je me suis enfuie. J’ai ouvert la porte et j’ai couru, couru jusqu’à l’épuisement.
    Impossible de me calmer, j’ai erré dans ma ville toute la nuit.
    Je suis rentrée chez moi, au petit matin.
    Ma fille regarda son père et lui dit : « Oh ! Papa, regarde maman elle a les cheveux tout  blanc ».

    Depuis, j’ai peur de faire des fautes d’orthographe sur facebook, je sais de quoi « ils » sont capables.
    Quand je raconte cette histoire, je vois bien que personne ne me croit.
    Même mon cerveau qui était avec moi ce jour là me traite de folle, il a complètement enfoui cet atroce souvenir au plus profond de lui-même.

     

    La dictature du bescherelle.

     


    9 commentaires
  • Quinze ans que tu attends ça,
    Quinze ans que tu veux être libre, sortir de ce trou à rat.
    Pour survivre, tu travailles tous les soirs en faisant la plonge dans un restaurant, tu n’as pas de contrat.
    Ta  vie a commencé dans un lieu sordide, tu n’as jamais vraiment eu de chance mais ce n’est pas de ta faute, c’est la faute du hasard.
    Ta famille était pauvre, de génération en génération vous n’avez pas eu la possibilité de vous sortir de là.
    Vos repas étaient simples, vous mangiez ce que vous pouviez, au jour le jour.
    L’eau aussi manquait, le manque d’argent ne vous permettait pas de pourvoir vous laver tous les jours.
    Chaque jour tu en voulais un peu plus au monde.
    Un jour, tu as décidé de t’en sortir en épousant quelqu’un, peu importe les sentiments et les mensonges.
    De toute façon, la vie a été vache avec toi pour ne pas l’être aussi.

    Ta vie a commencé dans les beaux quartiers, les belles banlieues où l’herbe est verte.
    Ton seul souci était d’avoir les plus belles fringues pour aller à l’école, le dernier téléphone…
    Il t’arrivait de faire des caprices parce que tu voulais que ta mère t’emmène au lycée avec la Mercedes et non avec l’Audi.
    Ton espace vital est plus important que la moitié des gens sur terre tout comme ton argent de poche. Pour tes dix-huit ans, tes parents t’ont acheté un appartement en plein centre de paris. Tu y fais des super teufs, c’est la femme de ménage qui nettoie le lendemain.
    Tu as toujours cru au conte de fée, chérir, aimer, épouser quelqu’un était ta quête. 

     

    Aujourd’hui Justine et Mamadou vont s’unir pour la vie.
    L’un avec ses ambitions d’une vie meilleure.
    L’autre avec ses rêves de conte de fée. 

    - Justine, fais attention avec ce genre de personnage. Ils sont perfides, manipulateurs, regardent où ils vivent, ça en dit long sur ce qu’ils sont. N’oublie pas que tu es blanche, ils ne te considéreront jamais.
    - T’inquiète pas maman, je sais ce que je fais.

     - Mamadou, tu es sûr de ce que tu fais. Regarde, ils ne sont pas du même monde que toi. Cette différence se fera ressentir un jour ou l’autre. N’oublie pas que  tu es noir, ils ne te respecteront jamais.
    - Rassure-toi maman, je sais ce que je fais.

     Cinq ans plus tard
    -Allo, maman, les papiers du divorce sont sur ma table. Je ne n’ai rien vu venir, j’ai pourtant tout fait, gâté sa famille, pallié ses manques du passé, j’ai tout mis à nos deux noms, l’appartement, le compte bancaire mais il en fallait toujours plus.
    J’ai passé des nuits entières à l’attendre sans rien dire et à sentir au petit matin, le parfum de quelqu’un d’autre sur son corps. J’ai travaillé deux fois plus pour lui payer ses moindres caprices, je m’occupais de nos deux enfants pour soulager ses fatigues injustifiées.
    J’ai pansé ses blessures sans relâche dès que j’écoutais son passé : « la vie ne m’a pas fait de cadeau », « la vie est injuste, toi tu as tout eu et moi rien »... 

     

    Justine a quitté Mamadou.
    Elle avait tout calculé depuis quinze ans.
    Elle l’avait dit juste avant : elle savait ce qu’elle faisait.
    Elle s’était vengée du hasard.
    Elle vit maintenant dans l’un des plus beaux quartiers de Paris.
    Elle mange à sa faim et prend sa douche tous les matins.

    Et oui c’était tellement plus simple d’imaginer Mamadou comme le méchant manipulateur et Justine, la petite fille qui croyait encore aux contes de fées.
    A aucun moment dans le texte il est écrit qui est qui, vous aviez juste deux prénoms et une histoire.

    Images mentales ancrées, préjugés, stéréotypes...

     
    Étymologie  de stéréotype :
    Stereos : ferme, dur, solide
    Tupos : empreinte, marque

    Définition :
    Il y a plusieurs sens, je vous propose celui de la psychologie sociale, qui est à mon avis, celui qui nous concerne le plus.
    En psychologie sociale, un stéréotype est une représentation caricaturale figée, une idée reçue, une opinion toute faite acceptée et véhiculée sans réflexion, concernant un groupe humain ou une classe sociale.
    Les stéréotypes sont des représentations sociales standardisées qui catégorisent de manière rigide et persistance tel ou tel groupe humain. En proposant une grille de lecture simplificatrice, basée sur des aprioris, ils déforment et appauvrissent la réalité sociale. Le but est de rationaliser la conduite à tenir vis-à-vis du groupe en question. Ce mode de raisonnement permet d'éviter de tenir un discours argumenté et de critiquer ceux que l'on ne connaît pas.

     

    Point de mire... Et stéréotypes

     

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