• Bonjour Brioche, alors depuis novembre nous vous voyons sur la toile du net…

    -Pourquoi tu me tu tutoies, on se connait depuis ma naissance. Tu pètes les plombs ?

    Puff, joue le jeu. Je fais ton interview, on fait croire que je suis journaliste.

    T’as vraiment un grain, par ta faute pas mal de gens pensent que je suis timbrée, lâche-moi !

    Aller, s’il te plaît, fais le pour moi et promis j’arrête de te faire la morale, de te culpabiliser et je te rends ta confiance.

    -Et mon sommeil aussi ? Tu promets.

    Ok.

     

    Bonjour Brioche, on vous connait peu d’où mon envie d’en savoir plus sur vous.

    Alors, on sait que vous nourrissez vos enfants de pâtes surprises et autres mets bizarroïdes, que vous partez dans des délires lunaires de bouts de chaines de liberté et pour finir, vous faites des sondages pourris auxquels personne ne répond.

    Pouvez-vous nous dire en quelques mots qui vous êtes.
    Je suis une maman de deux enfants, en couple.  J’exerce le métier de comptable et parallèlement j’ai créé ma société.
    Je travaille beaucoup et je carbure au café. J’aime énormément ce que je fais et ma devise est : « Pour votre santé, créez, bougez, réalisez vos projets ».

     

    C’est une entreprise de quoi ?
    Je garde le secret encore un peu.Ce que je peux dire pour le moment, c’est que le logo et la charte graphique sont validés, le site est en cours de création.
    Et le tout sera probablement prêt pour la fin du mois de mars.

     

    Depuis quand travaillez-vous sur ce projet ?
    En avril, cela fera deux ans.
    Deux ans que je m’éclate et je souhaite à tous de vivre la même chose, de se dépasser, de dire stop aux peurs et de foncer.

     

    D’où t’es venue cette envie de créer ton entreprise ?
    J’ai toujours voulu entreprendre. Pas très bonne à l’école et peu intéressée par les études, je n’étais pas destinée à faire un truc qui me bottait réellement mais j’ai toujours eu foi en moi, persuadée qu’il y avait plusieurs chemins pour réussir dans la vie (je veux dire par là : faire ce que l’on aime).
    Et puis un jour, j'ai eu une idée.

     

    Et pourquoi cette idée et pas une autre ?
    Simple, j’ai toujours pensé que le produit que je vais commercialiser existait depuis toujours. Un jour, j’ai même fait cinq boutiques pour le trouver. A la fin de la journée, je me suis dit « fonce, tu as trouvé ton idée ».

     

    Merci Brioche pour vos réponses et à bientôt sur votre site de e-commerce.

     


    2 commentaires
  • - Maman ! On mange quand !
    - Jamais !!!!
    - Maman, on mange quoi ?
    - Rien ! Mais faîtes-moi taire ce môme !!

    - Rooohhhh; mais qu'est-ce qu'elle est méchante cette maman....

    "Brioche tête de pioche, fais donc à manger à tes gosses !"

    Quoi, je vous choque ?
    Allez, pas à moi, vous l’avez tous pensé au moins une fois même un tiers de seconde.

    Vous l'avez compris, il m’arrive d'avoir la flemme de faire à manger à mes petits bouts de choux.

    Juste parce que je suis naze ! Hors service ! Sur les rotules.
    Aussi parce que je ne sais plus quoi leur faire pour qu’ils bouffent et qu’ils ne soient pas là en train de trier les petits pois et les carottes parce qu’ils n’aiment pas les carottes ou les petits pois…
    Un bon petit repas fait avec amour et équilibré qui finit en combat cosmique dans l'assiette.

    Alors, il y a des jours où WAOUH, je pète les plombs. Je rentre dans une créativité de flemmardise totale.
    Je suis dans ma cuisine, presque en transe, je pense à Top Chef en me disant que je suis meilleure qu’eux et j'invente des recettes de malades !

    Ainsi, je vais vous présenter deux recettes sorties tout droit de mon imagination de mère tambouille.

    Voici le CSQSFECM :  (Club Sandwich Qui Se Fait En Cinq Minutes) : Résultat garanti, les gamins t’aiment encore plus qu’avant les cinq minutes et tu as même droit à un « oh ! Merci maman, t’es la meilleure».

    Ingrédients :
    - 2 tranches de pain de mie extra large sans croute
    - 1 tranche de jambon ou autre qui ressemble
    - Mayonnaise ou beurre

     Petite photo pour mettre en appétit, vous remarquerez l'effort de la feuille de salade, cela mérite le respect quand même.

    "Maman, j'ai faim !" ...."Qui me parle ? je ne suis pas là, il n'y a personne ici"

     

    Les PÂTES SURPRISES : "Mais Brioche, c'est quoi des pâtes surprises ?"
    Alors, comment dire, ce sont des pâtes avec une surprise dedans, toujours la même surprise et un truc hallucinant se passe systématiquement au moment où les enfants la découvrent : ils sont toujours émerveillés.
    Perso, je n'ai jamais su s'ils le faisaient exprès pour me faire plaisir ou s'ils étaient réellement surpris.

    Ingrédients :
    - Des pâtes (torsades ou coquillettes)
    - Du jambon ou autre qui ressemble

    Recette :
    Faire cuire les pâtes
    Couper le jambon en petits morceaux
    Dans une assiette creuse mettre les morceaux de jambon et les recouvrir entièrement des pâtes (c'est la partie la plus difficile, il ne faut pas se louper).

    - A table mes petits chéris, je vous ai fait des pâtes surprises !
    - Mais, il n'y a pas de surprise ?
    - si mange, et vous la trouverez.
    - ooohhh ! merci maman qu'on aime.

      "Maman, j'ai faim !" ...."Qui me parle ? je ne suis pas là, il n'y a personne ici"."Maman, j'ai faim !" ...."Qui me parle ? je ne suis pas là, il n'y a personne ici".

     

     

     

     

     

     

     

     

     Elle est pas belle la vie ?

     


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  • En référence à l'article "La logique du pire", je vous propose quelques libertés en plus afin d'élargir votre superficie de liberté.

    TADAM !

    PS : vous pouvez agrandir les photos en cliquant dessus.

     boutique de bouts de chaînes de liberté supplémentaire.

     

    Quelques unes avec un temps d'action limité.

    boutique de bouts de chaînes de liberté supplémentaire.

     

    En pour finir, celles livrées avec option :

    boutique de bouts de chaînes de liberté supplémentaire.

    J'espère que cela vous a plu.

    En attendant, je suis toujours en compétition sur Famili pour le blog du mois. 
    Les votes sont anonymes, sans inscription et journaliers.
    Voici le lien : http://www.famili.fr/sap/blogparents/entrant/423624

     A plus pour de nouvelles aventures.

     


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  • Vous commencez à me connaitre, je n'aime pas l'école (ho ! la vilaine), j'ai la bougeotte et je n'ai surtout pas envie de faire la même chose toute ma vie.

    C'est pas sérieux tout ça ?
    C'est pas ça la vie !
    faut se poser un jour.

    Pas possible pour moi, je rejette catégoriquement la logique du pire.

    Ben, c'est quoi la logique du pire ?

    Allez, venez les petits. Installez-vous en face de moi et je vais tout vous raconter.

    La logique du pire est  l'aire de ton existence et de ta liberté.
    Je vais vous faire un schéma, ce sera plus facile à comprendre :

    La logique du pire.

     

    Vous avez compris ?
    Pas trop, ok voici un petit exemple de ce que peut-être la logique du pire d'une personne qui ne sait pas dire non.
    En gros à quoi se limite sa vie, en quelque sorte l'aire de sa propre liberté.

    La logique du pire.

     Tu peux cliquer sur les photos pour les agrandir.

    Ce week end, je mettrai en ligne des bouts de chaine de liberté.

     


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  • Alors, pour tout vous dire,  la première des choses que je fais quand je me sens perdu, c’est de revenir à la base.

    Qu’est-ce que j’aime faire en général : me dépasser
    Ok mais a part l’athlétisme, je vois rien.
    Quoi d’autre : j’aime aller au bout des choses.
    Hum super mais encore ?

    Bon je crois que je vais rester encore un peu en restauration histoire de peaufiner toute cette réflexion, mais j’arrête la salle, trop marre, je vais faire un petit tour en cuisine.

    Presque trois ans de cuisine plus tard (ça fait long mais j’ai eu un bébé entre temps, fallait bien le nourrir mon doudou),

    Je me suis dit : «  ma cocotte, qu’est-ce tu fous, hein ? Répond ! Tu vas faire des gâteaux toute ta vie ? Aller, bouge, demande un licenciement  à l’amiable et fais un bilan de compétence, sans ça on va te retrouver morte au fond d’une marmite ».

     « Puffff…. J’en ai marre de toi la Voix, tu me gaves ! Tu ne veux pas me laisser tranquille ! »
    -Tais-toi et fais ce que je te dis sinon je t’empêche de dormir la nuit !
    Oula ! Je préfère l’écouter, elle m’a déjà fait le coup des nuits blanches.

    Trois semaines plus tard me revoilà sur le marché du travail.
    Et qu’est-ce qu’on fait quand on est au chômage et ben on va au Pole Emploi :

    - Bonjour, je voudrai faire un bilan de compétences.
    - Non, allez chercher du travail.
    - Bonjour, je voudrai faire un bilan de compétences.
    - Non, vous avez déjà un métier
    - Bonjour, je voudrai faire un bilan de compétences.
    - Non ! Non et Non !

     Ah ouais, ok.

    -Bonjour, je voudrai faire un bilan de compétence.
    J’ai  tellement insisté qu’au bout de trois mois, j’ai enfin eu un bilan de compétences.
    Trop bien, ça te remet les idées en place, tu te connais mieux en tant que personne active.
    Il en est  sorti que je ferai une très bonne comptable.
    Pourquoi pas, si ça peux me sortir des fourneaux.

    L’AFPA proposait une formation de 10 mois pour devenir Comptable Assistante mais avant je devais passer un test de français, math, logique et  informatique niveau troisième.
    Fastoche, les doigts dans le nez…
    Résultat du test : 65/200
    La honte ! J’étais dégouté ! Nulle, nulle et archi nulle.
    Pour pouvoir accéder à cette formation je devais donc faire  une remise à niveau de trois mois.

    Aujourd’hui, je souris en y repensant mais ma  fierté en avait pris un coup, j’étais  totalement dégoutée et honteuse, je mentais aux gens.

    Examen de la pré pro réussi, direction ma formation en compta.10 mois plus tard, j’étais comptable assistante.Qu’est-ce que j’étais fière de moi, sur mon CV je pouvais écrire que j’étais comptable.

    Fini la plonge
    Fini les horaire pénibles
    Fini le dos en compote à porter des charges trop lourdes.

    La fierté : moi, maintenant mon outil de travail est un PC et plus la marmite dans laquelle je devais finir.

    Le bonheur.


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