• Pas facile de choisir un cadeau mais certains ne se foulent pas vraiment. 

    Voici quelques trouvailles sur le net.

     

     

    Effectivement on peut faire mieux, quoi que c'est plus sympa qu'un shampoing. 

    Les pires cadeaux de Noël...

       

    J'imagine la personne dire "merci" ... Une photo s'impose pour immortaliser ce moment.

    Les pires cadeaux de Noël...

     

    Ben quoi, c'est cool un bol en plastique... Au moins il ne se cassera jamais.

    Les pires cadeaux de Noël...

      

    Moi je dis : "c'est l'intention qui compte"...

    Les pires cadeaux de Noël 2015

      

    Ben, il est sympa ce bougeoir, il a même un couvercle. Les gens ne sont jamais contents

    Les pires cadeaux de Noël 2015

      

    Le cadeau typique d'un pays. C'est sympa mais on ne sait pas quoi en faire.

    Les pires cadeaux de Noël 2015

      

    Le cadeau utile... surtout pour cet hiver bien froid .

    Les pires cadeaux de Noël 2015 

     

    "Non, vraiment merci, fallait pas... Je ne sais pas quoi dire"

    Les pires cadeaux de Noël 2015

      

    L'instant : "Je deteste ma mère mais comment a-t-elle pu me faire ça à moi son adorable fille"

    Les pires cadeaux de Noël 2015

     

     

    Allez, je balance mon pire cadeau. Une amie m'a invitée pour le réveillon. Il y avait six personnes et j'avais pris un cadeau à chacun. Au moment d'ouvrir les cadeaux, la tante voyant que je n'avais rien, est vite partie emballer un truc dans la cuisine et est revenue toute joyeuse : " et voilà pour toi..."  C'était une bougie en forme de père Noël qu'elle venait juste de chiper sur le sapin. Je l'ai posé sur la table en guise de décoration et quand je l'ai allumé, il a pris feu, la nappe de l'arrière grand-mère aussi et je ne sais pas pourquoi à ce moment là, peut être pour détendre l'atmosphère, je me suis mise à chanter : " il est né le divin enfant..."

     

     Un petit dernier pour la route : Merci Papy-Mamy

    Les pires cadeaux de Noël 2015

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  • La nouvelle année arrive à grands pas et les bonnes résolutions aussi. Alors voici quelques unes histoire de se rappeler que nous sommes de Sacrées Mamans et aussi de Sacrés Papas. Je précise parce que sinon, je me fais rappeler à l'ordre par ces messieurs. Juste un message pour vous, les hommes. À la maison, j'ai aussi un Sacré Papa et je vois tout ce qu'il fait pour notre bonheur, alors excusez-moi si par moments je parle au féminin.



    - On ne dira plus : " je n'ai rien fait de ma vie " 

    mais on se rappellera tout ce que l'on a fait dans notre vie


    - On ne dira plus : " J'ai pris du poids "

    Mais : " Je suis belle quand je mange du chocolat "


    - On ne dira plus : " je n'ai rien fait de la journée "

    Mais : " J'ai pris du temps pour moi et cela fait du bien "


    - On ne dira plus : " je ne sers à rien "

    Mais : " j'ai une famille, un mari, des amis et des collègues qui m'aiment "


    - On ne dira plus : " je n'ai pas la force de faire du sport "

    Mais : " je ferai du sport que si j'en ai envie "


    - On ne dira plus : " Oui " à tout le monde 

    Mais : " Je vais y réfléchir et si je peux, je le fais "


    - On ne dira plus : " Qu'est-ce j'ai fait pour en arriver là "

    Mais : " Quelles sont les solutions pour m'en sortir "


    - On ne dira plus : " je n'ose pas changer de vie professionnelle "

    Mais : " Quelles opportunités s'offrent à moi "


    - On ne dira plus : " je n'y arriverai pas "

    Mais : " Je suis tout aussi capable que quiconque "



    Le but de cet article est de vous montrer qu'en changeant seulement notre appréciation, on peut aussi faire évoluer l'image que l'on a de nous. Je vous invite à faire le même exercice sur ce qui vous touche et aussi de nous en faire part afin que d'autres puissent en profiter. 

     

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  • L'éducation n'est pas une chose facile. Il m'est arrivé de péter les plombs et d'agir à la limite du n'importe quoi. Mon fils, jusqu'à ses huit ans était assez difficile pas turbulent mais très tête de mule à rendre dingue les personnes les plus patientes. Pour vous dire, un jour j'ai croisé sa maitresse de CP et au moment où on a parlé de lui, son visage s'est déformé et j'ai même eu peur qu'elle me frappe.

    Alors voici trois moments où mes fusibles ont fondu :

    • Mon fils avait pris comme sale habitude de traverser la rue en courant histoire de braver l'interdit.

      Sauf qu'un jour une voiture est passée quelques secondes après lui. Je me suis dit ok, les discussions douces et gentilles n'ont plus leurs places. 

      Une fois à la maison, je le gronde sévèrement lui expliquant que la voiture aurait pu le percuter. Il me rétorque avec un sourire d'affront : " Oui mais elle ne m'a pas touchée " et là il me dit clairement qu'il est Superman et qu'il aurait fait comme-ci et comme-ça, mimant toutes sortes d'esquives.

      Mon agacement vire directement au : "Wouh Punaise", alors là mon coco cela ne va pas se passer comme ça. Tu veux jouer ? On va jouer... 

      - Remets tes chaussures et ta veste 

      - Hein... Pourquoi ?

      - On va dans la rue et tu vas me faire Superman !

      - Quoi ???!!!

      - Allez fissa, mets tes pompes. On descend dans la rue, dès que je vois une voiture passer, je te dis de courir et tu me refais le coup du Superman !

      - Naaaannn !!!!

      - Si , mets tes pompes !!!

      Bichette, son calvaire a duré dix minutes. Il a mis ses chaussures, sa veste, j'ai ouvert la porte de l'appart, j'appelle l'ascenseur  et pendant que celui-ci monte, je lui demande :

      - Alors, t'es toujours Superman ?

      - Naaan snif snif... 

      - Allez hop, va réfléchir dans ta chambre. 

      Il n'a plus jamais traversé la rue sans m'attendre.

     

    • Pendant trois mois et je vous jure que c'est vrai, mon fils venait me réveiller toutes les nuits vers deux-trois heures du matin. mais attention, pas n'importe comment. Il rentrait doucement dans la chambre, il mettait sa tête à dix centimètres de la mienne et il hurlait en pleurant : " Maman !!!  Maman !!! " C'est simple, je faisais un bond de deux mètres, mi-crise cardiaque mi-sincope. Je le comprenais un peu, nous avions changé d'habitation mais bon, j'en étais arrivée à un niveau très élevé de fatigue donc plus aucun discernement.

      Et ce fut la nuit de trop... Il hurle, je me réveille, ni une ni deux, je le prends par la main, direction la cuisine, j'ouvre un placard, prends son Nesquik, je le reprends par la main, direction les toilettes. Hors de moi avec la voix d'une sorcière et en accentuant toutes les fins de phrases, je lui dit : " Tiens ! regarde ce que j'en fais de ton Nesquik !!! Je vide tout dans les choittes et regarde, je tire la chasse d'eau, OK !!! il n'y a plus de Nesquik, d'accord !!! Bye bye ton Nesquik et maintenant tu vas arrêter de me réveiller... J'en peux plus, ça me rend folle !!!"

      Bien entendu, j'avais la tête d'une folle.

      Mais bon, le lendemain avant son réveil, je suis vite partie lui en racheter une boite et lui a continué son petit  jeu encore trois mois.

     

    • J'en arrive à ce jour là, où je pense sincèrement que j'ai dépassé toutes les bornes. Cela faisait une semaine qu'il me faisait tourner en bourrique et rien n'y faisait, les câlins, les sermons, les colères... Mon fils se moquait éperdument de ce que je lui disais et n'en faisait qu'a sa tête. Un soir,  il dépasse les limites et là quand on dépasse les limites avec moi, je peux me montrer très imaginative. Je l'appelle pour le repas, il s'assoit à table et je lui apporte son repas à genoux. 

      - Qu'est-ce que tu fais maman ?

      - Oh mon seigneur, vous daigniez me parler, moi votre vassale ?

      Je me prosterne plusieurs fois devant lui en scandant : " Oh que vous êtes beau mon maitre, que vous êtes le plus fort mon maitre, bon appétit mon maitre vénéré " et je sors de la cuisine à reculons, toujours à genoux et la tête baissée.

      - Mais pourquoi tu fais ça maman ?

      - Oh mon prince. Que vous êtes bon de vous arrêter sur mon sort. Je ne suis que votre esclave. Permettez-moi de quitter la pièce, je ne voudrai pas vous offenser de ma présence.

      C'est simple, je vis mon fils se décomposer sur place... 

      - Arrête maman !!!

      - Que j'arrête quoi mon prince, cela fait une semaine que vous ne m'écoutez point. J'en conclue que je suis sûrement votre sujet. 

     Ce petit jeu n'a duré que cinq minutes mais après ça j'ai eu la paix pendant six mois.

     

    C'est affreux de se comporter comme ça, bon j'avoue que la dernière histoire me fais toujours aussi rire, je me dis que je suis allée loin. 

    Et vous, dites-moi tout, cela m'embêterai d'être la seule à avoir eu des réactions bizarres. 

     

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  • - Je suis bloggeuse depuis deux ans. 

    - Avant mon blog et ma page s'appelaient : " Le Cahier de Brioche "... Un jour, Je vous expliquerai pourquoi.

    - Je n'aime pas le Nutella. Il y a même une nana qui m'a limite jetée pendant une heure parce que  " Tout Le Monde Entier " aime le Nutella. Je me suis surtout dit que le Nutella pouvait rendre fou les gens et qu'il fallait pas que je tombe dedans.

    - J'ai trois enfants et même si c'est épuisant, j'en veux un quatrième.

    - Je suis comptable de métier mais les gens ne me croient pas. Apparemment, je ne colle pas au profil. Quand je leur demande quel profil j'ai... ils me font tous la même tête : genre " on ne sait pas trop ". Imaginez comme cela peut être frustrant quand on vous regarde de cette façon.

    - J'adore tout ce qui est nouvelle technologie. Certaines bavent devant les vitrines d'un magasin de chaussures et ben moi, je fais pareil devant un Apple Store et mon rêve c'est d'avoir plein de fric pour dévaliser la FNAC. 

    - Je ne regarde jamais la télé mais je peux devenir totalement fan d'une télé-réalité ou d'une série. Je suis capable de la regarder en replay, juste pour remettre des scènes qui me font rire ou parce que j'ai pas entendu l'intégralité d'une phrase.

    - Je travaille dans le silence le plus complet et si je ne peux pas, je me concentre jusqu'à faire abstraction de ce qui m'entoure au point que certains collègues pensent que je dors.

    - Je fais du rollers depuis mes 7 ans, j'ai commencé avec les patins à roulettes de ma grande soeur. En général, j'aime tous les sports extrêmes, je trouve cela fascinant mais j'ai une peur atroce du vide. À partir du septième étage d'un immeuble, je ne me sens pas bien et pour regarder par la fenêtre, je me mets à genoux et je passe la tête, j'ai trop peur de tomber même si c'est irrationnel.

    - J'aime faire rire les gens au moins une fois dans la journée. Un jour, une amie m'a demandé de ne plus venir à son dîner organisé, elle venait d'apprendre un décès dans sa famille et que ce soir là, elle ne voulait pas rire... J'avoue que cela m' a fait réfléchir surtout que sur dix personnes, je fut la seule décommandée. 

    - J'aime quand on me donne des conseils même si je ne le montre pas et en général, je les applique. 

    - J'aurai voulu être une danseuse étoile.

    - Je suis de nature très sportive. Pour mes notes du bac, mon prof de sport m'a mis des notes entre 10 et 11 alors que certaines filles par très bonnes avaient eu de meilleures notes. Quand j'en ai parlé au prof , il ma dit : " Mais je pensais que tu étais un garçon..." Je me suis prise une claque, ce type m'a vu pendant un an et pas une seule fois, il s'est dit que j'étais une fille. 

    - Encore à mon âge, je crois toujours que les nuages sont de la barbe à papa. Je n'arrive pas à me défaire de cette idée

    - Si une personne ne me répond pas au bout de trois appels, je m'inquiète et je suis capable d'appeler les pompiers. 

    - Au Bac j'ai eu 10,00. La nana qui m'a rendu les résultats, en voyant ma note, m'a dit : " Ah toi, t'as le popotin bordé de nouilles..." Je me suis dit : " Tiens moi, j'ai eu la mention bordée de nouilles " 

    Je me presente...


    - En parlant des résultats du Bac. Je ne sais pourquoi mais je m'étais mise dans la tête qu'ils les afficheraient à 8 heures du mat. Tout le monde m'a dit que logiquement c'était 17 heures et que cela a toujours été comme ça. Et ben non mordicus, j'étais si convaincu qu'ils ont fini par me croire. Donc, le jour J, je me pointe devant le lycée en question et je ne vois rien. Je sonne, un gardien vient vers moi, on discute et il me dit que c'est à 17 heures puis me balance : " rassurez-vous, chaque année, il y en a toujours un qui me fait le coup..." 
    Sur ce mon téléphone sonne, mon père :

    - Alors tu l'as 
    - Ben euh...
    - Ah tu l'as pas ? 
    - c'est pas ça...
    - tu passes au rattrapage ?
    - Ben non, les résultats sont à 17 heures. 

    Là, je vous parle que de mon père mais des coup fils comme ça, j'en ai eu toute la matinée. Avec exactement les mêmes questions et les mêmes réponses : " La cruche de service, allo bonjour..."

    Juste pour finir, merci de me suivre et je m'engage à vous faire sourire, rire, à vous sortir la tête de votre quotidien au moins une fois par jour. 

     

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  • L’entrée au CP, quelle joie de quitter le monde des tout-petits.
    Enfin grand et l’apprentissage de la lecture.

    Dans la cour de l’école, des jeux de toutes sortes apparaissent ;  la corde à sauter, le ballon en mousse rebondit de partout faisant participer les uns et les autres au ballon prisonnier et au foot…

    Et puis il y a le jeu de billes.

     Qui n’a pas joué à ce jeu qui existe depuis toujours, et il y a plusieurs façons de jouer : Toucher la bille de l’autre pour la gagner, la course poursuite ou la mettre dans  le trou un peu comme le golf….

    Ce jeu s’étend au fur et à mesure dans la cour de récréation :
    - Maman, je veux des billes.
    Alors, la maman parfaite achète le filet de billes à son petit cœur, lui trouve une trousse ou une boite.

    Perso, le mien a eu droit à une superbe trousse de maquillage Agnès B.

    Et la grande partie commence, quasiment tous les enfants de l’école  attendent la récréation pour montrer avec fierté leur nouvelle acquisition, comparant les billes entre elles : « celle-là c’est la plus belle, c’est un œil de chat »

    - Et ben moi, j’ai une agate !
    - Oh regardez Hector,  il a un gallot… Comme elle est grosse, tu me l’échanges ?
    - Non !
    - Allez, je te file deux araignées et une saturne, elle vaut bien deux abeilles.
    - Ok, maintenant on joue !

    Le jeu commence, effervescence de « CLIP ! »   « CLAP ! » ! « OUAIS ! »…

    Les meilleurs raflent toutes les billes.
    Certains sont  économes et un peu moins bons donc limitent leurs pertes s’arrêtent et regardent  leurs copains jouer ou vont jouer à un autre jeu.
    D’autres perdent tout en une récré.
    Il y a aussi les chanceux, qui en trouvent par terre et se refont une main.

    Un jour :
    - Maman, tu m’achètes des billes ?
    - Et  celles que je t’ai achetées l’autre jour ?
    - Je les ai perdues.
    - D’accord, mais tu prends le paquet à deux euros, je ne vais pas mettre tout mon fric dedans et cette fois-ci tu fais attention
    - Trop cool, merci maman

    Puis le jeu de billes commence à se perdre, les plus forts ont toutes les billes, les chanceux n’en trouvent plus et les parents estiment qu’ils ont déjà trop acheté.

    Il n’est pas rare de voir quelques billes trainées ici et là dans la maison, toutes seules, des résistantes qui nous ramènent à notre jeunesse, à ces bruits de cour de récré …

    Maintenant, remplacez les billes par des billets.
    Les plus  forts par les actionnaires et autres.
    Les parents par les banques.
    Les économes par le livret A.
    Les chanceux par ceux qui arrivent à percer le système.

    Je vous présente le monde que nous laissons à nos enfants.

     

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