• En référence à l'article "La logique du pire", je vous propose quelques libertés en plus afin d'élargir votre superficie de liberté.

    TADAM !

    PS : vous pouvez agrandir les photos en cliquant dessus.

     boutique de bouts de chaînes de liberté supplémentaire.

     

    Quelques unes avec un temps d'action limité.

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    En pour finir, celles livrées avec option :

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    J'espère que cela vous a plu.

    En attendant, je suis toujours en compétition sur Famili pour le blog du mois. 
    Les votes sont anonymes, sans inscription et journaliers.
    Voici le lien : http://www.famili.fr/sap/blogparents/entrant/423624

     A plus pour de nouvelles aventures.

     


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  • Vous commencez à me connaitre, je n'aime pas l'école (ho ! la vilaine), j'ai la bougeotte et je n'ai surtout pas envie de faire la même chose toute ma vie.

    C'est pas sérieux tout ça ?
    C'est pas ça la vie !
    faut se poser un jour.

    Pas possible pour moi, je rejette catégoriquement la logique du pire.

    Ben, c'est quoi la logique du pire ?

    Allez, venez les petits. Installez-vous en face de moi et je vais tout vous raconter.

    La logique du pire est  l'aire de ton existence et de ta liberté.
    Je vais vous faire un schéma, ce sera plus facile à comprendre :

    La logique du pire.

     

    Vous avez compris ?
    Pas trop, ok voici un petit exemple de ce que peut-être la logique du pire d'une personne qui ne sait pas dire non.
    En gros à quoi se limite sa vie, en quelque sorte l'aire de sa propre liberté.

    La logique du pire.

     Tu peux cliquer sur les photos pour les agrandir.

    Ce week end, je mettrai en ligne des bouts de chaine de liberté.

     


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  • Alors, pour tout vous dire,  la première des choses que je fais quand je me sens perdu, c’est de revenir à la base.

    Qu’est-ce que j’aime faire en général : me dépasser
    Ok mais a part l’athlétisme, je vois rien.
    Quoi d’autre : j’aime aller au bout des choses.
    Hum super mais encore ?

    Bon je crois que je vais rester encore un peu en restauration histoire de peaufiner toute cette réflexion, mais j’arrête la salle, trop marre, je vais faire un petit tour en cuisine.

    Presque trois ans de cuisine plus tard (ça fait long mais j’ai eu un bébé entre temps, fallait bien le nourrir mon doudou),

    Je me suis dit : «  ma cocotte, qu’est-ce tu fous, hein ? Répond ! Tu vas faire des gâteaux toute ta vie ? Aller, bouge, demande un licenciement  à l’amiable et fais un bilan de compétence, sans ça on va te retrouver morte au fond d’une marmite ».

     « Puffff…. J’en ai marre de toi la Voix, tu me gaves ! Tu ne veux pas me laisser tranquille ! »
    -Tais-toi et fais ce que je te dis sinon je t’empêche de dormir la nuit !
    Oula ! Je préfère l’écouter, elle m’a déjà fait le coup des nuits blanches.

    Trois semaines plus tard me revoilà sur le marché du travail.
    Et qu’est-ce qu’on fait quand on est au chômage et ben on va au Pole Emploi :

    - Bonjour, je voudrai faire un bilan de compétences.
    - Non, allez chercher du travail.
    - Bonjour, je voudrai faire un bilan de compétences.
    - Non, vous avez déjà un métier
    - Bonjour, je voudrai faire un bilan de compétences.
    - Non ! Non et Non !

     Ah ouais, ok.

    -Bonjour, je voudrai faire un bilan de compétence.
    J’ai  tellement insisté qu’au bout de trois mois, j’ai enfin eu un bilan de compétences.
    Trop bien, ça te remet les idées en place, tu te connais mieux en tant que personne active.
    Il en est  sorti que je ferai une très bonne comptable.
    Pourquoi pas, si ça peux me sortir des fourneaux.

    L’AFPA proposait une formation de 10 mois pour devenir Comptable Assistante mais avant je devais passer un test de français, math, logique et  informatique niveau troisième.
    Fastoche, les doigts dans le nez…
    Résultat du test : 65/200
    La honte ! J’étais dégouté ! Nulle, nulle et archi nulle.
    Pour pouvoir accéder à cette formation je devais donc faire  une remise à niveau de trois mois.

    Aujourd’hui, je souris en y repensant mais ma  fierté en avait pris un coup, j’étais  totalement dégoutée et honteuse, je mentais aux gens.

    Examen de la pré pro réussi, direction ma formation en compta.10 mois plus tard, j’étais comptable assistante.Qu’est-ce que j’étais fière de moi, sur mon CV je pouvais écrire que j’étais comptable.

    Fini la plonge
    Fini les horaire pénibles
    Fini le dos en compote à porter des charges trop lourdes.

    La fierté : moi, maintenant mon outil de travail est un PC et plus la marmite dans laquelle je devais finir.

    Le bonheur.


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  • Alors comme ça, on n’aime pas l’école ma petite ?
    Eh bien tu seras serveuse.
    Et serveuse je fus.

    Au début, c’était un job d’étudiante que le week-end et les vacances. Mais  au fur et à mesure mes heures de cours se sont transformées en heures de travail. En soi, le métier de serveuse ne me dérangeait pas, j’avais vingt-trois ans, jeune et pleine d’énergie.
    De temps en temps je devenais barmaid. J’adorais, c’était cool.

    Mon engouement dura un an, je pensais que j’avais le temps et que je pouvais reprendre mes études à tout moment.

    Oui, mais quoi ?
    Quoi faire de ma vie
    Je ne savais pas, rien ne m’attirait ou je trouvais les études trop  longues.

    Un peu comme quand tu repousses l’heure de ton réveil le matin pensant qu’il te reste du temps, que tu te dis que t’es large et qu’au final tu es en retard.
    Tout dépend du retard, mais le mien était déjà trop long, deux ans.

    A  vingt-cinq ans, j’étais toujours dans ce foutu flou tout en servant des assiettes de pennes quatre fromages à vingt euros.

    La belle histoire.

    Il faut savoir, qu’en restauration il n’y a pas d’évolution possible tu restes à ta place, tu sers, on te siffle, on t’impose des blagues débiles auxquelles il faut rire sinon c’est l’incident diplomatique avec le client, tu dois sourire en permanence, tu n’as pas le droit de te tromper et enfin en guise de pourboire tu as le droit aux petites pièces que les gens n’osent pas jeter.

    Bref, tu n’es rien. 

    Plus d’une fois je me suis regardée comme une moins que rien
    Je me prenais la tête dans les mains :

    -  Mais qu’est-ce que t’as fait !
    -  Pourquoi tu n’as pas fait d’efforts !
    -  Ce n’était pourtant pas compliqué !

     Je me suis lamentée comme ça pendant je ne sais combien de temps, et puis comme souvent une petite voix surgissait de nulle part :

    - Tu regrettes quoi Brioche ?
    - Pas l’école, ce n’était pas ton délire.
    -  Je ne sais pas bouge-toi, tu chiales mais pourquoi ? Tu n’as rien fait, c’est bien de couiner. En plus je parie que c’est la faute des autres, tu es une incomprise… que veux-tu que je te dise, tu as été conne sur ce coup là.

    - Allez, sèche-moi cette amertume de tes yeux et trouve une solution.Apprend aussi à te connaitre un peu mieux et ne pense plus à ce qu’il faut faire pour donner l’impression d’avoir réussi dans la vie, pense plus à ce que tu aimes faire.

    Alors comme ça t'aimais pas l'ecole ?

     

     


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